affiche ça vaut jamais le réel 2008

jeudi 15 avril 2010

fermeture

D'un commun accord nous avons décidé de ne pas réorganiser de nouveau festival;
plusieurs raisons à cela:
  • un investissement temporel important
  • un manque plus que chronique d'aides financières
  • l'envi de nous renouveller

lundi 13 octobre 2008

Radiodiffusion du duo Malcolm Goldstein- Matthias Kaul

photo Michel Vogel
Radiodiffusion du duo Malcolm Goldstein- Matthias Kaul
du concert du 17 septembre 2008 dans le cadre du festival "ça vaut jamais le réel" aux Instants chavirés
le vendredi 7 novembre 2008 sur France Musique "à l'improviste" d'Anne Montaron à minuit

lundi 1 septembre 2008

Et bruits... , le 17 septembre

C'est une performance pour 6 sculptures live et voix enregistrées (textes Isabelle Krzywkowski et extraits de Tout En Un, 1934. Voix Jonathan Dessaint)

[ …] On les a appelés aussi "la musique des bruits". Fussent-ils harmonieux ou non, ce sont pour la plupart des onomatopées recueillies patiemment par des observateurs, ou plutôt par des "écouteurs" qui sont allés même jusqu'à analyser les chant des oiseaux. Chaque son émis a une ou plusieurs appellations particulière dont nous ne donnons ici que les plus connues. [ …]
in Tout En Un, 1934

Laurent Golon (laurent.golon.free.fr)

mercredi 20 août 2008

Kaye Mortley le 19 septembre 2008


Dans la rue
par
kaye mortley
diffusion sonore et vidéo
Le 19 septembre 2008 aux Instants Chavirés

"La rue, elle est grise et marron,"dit Alice.
"Très, très grise," dit Mathilde.
" Ce n'est pas une rue où beaucoup de gens passent," dit M.

On y entend des oiseaux, des cloches, des voitures, des gens qui se disent bonjour par la fenêtre ... un peu de bruit.

Petit décor sonore qui suinte par la fenêtre ouverte, en été.
Qui vient frapper à la fenêtre fermée en hiver.
(Le son fait toujours ce qu'il faut pour arriver jusqu'à l'oreille.)

Par moments, dans la rue, le ton monte, les voix se font fortes.
Il se passe donc quelque chose?
On va à la fenêtre pour voir, pour écouter...
On découvre, alors, que la rue est une scène, dont le- petit- décor- sonore- qui- suinte- par- la- fenêtre- ouverte- en- été est la toile de fond invisible.
Ou la bande son éphémère aléatoire, mixée en direct.
Scène sur laquelle se joue une comédie (d'erreurs ?)
faite d'attentes et de rencontres
d'apparitions et de disparitions
et de recommencements de l'attente.
Scène sur laquelle chaque rôle est soigneusement distribué
chaque place implacablement attribuée
chaque costume un déguisement outrancier
et le nom de chaque personnage faux.

Un jour, on décidera (peut-être) d'aller parler à ces comédiens del arte.
(C'est ainsi que commencent beaucoup de documentaires.)
Leur demander d'expliquer la régie qui gouverne leur théâtre de rue.
Leur demander qui est l'auteur du scénario.

Les travaux d'approche seront longs (l'illégalité rend prudent).
Les séances d'enregistrements seront courtes (le temps d'une passe).
Le récit de vie qui se tissera de séance en séance ne sera ni vrai, ni faux.
Ce sera une fiction, comme tous les récits de vie.

Roi Vaara le 20 septembre 2008


Roi Vaara le 20 septembre 2008 aux Instants Chavirés
Spiral

A list of words from the banality of every day life will be written on the floor. They form a spiral. This spiral is a kind of wicked spiral, which will be demonstrated by the performer spinning around in the middle of the words until he loses his balance and falls down. He releases himself from spiral by replacing all the words by different words.

Roi Vaara is one of the most internationally recognized performance artist from Scandinavia. was born in Moss, Norway 1953 form Finnish parents. He studied in the University of Art and Design, in Helsinki 1972-75 and in Jyväskylä University1976-77. Since 1988, Vaara has performed in Black Market International, a group of 12 artist from different countries and continents. He was awarded International Studio Program to Küntlerhaus Bethanien, Berlin, Germany 1997-98. He has presented about 300 different performances, that has taken place in more than 200 international exhibititons/festivals in 36 countries, among other things, also in Venice Biennal, Italy (2001, 2005), Havana Biennal (2004), and Manifesta 5, San Sebastian, Spain (2004). Vaara received the State Prize for Art from the Art Council of Finland in 2000 and Ars Fennica Prize from Henna and Pertti Niemistö Foundation in 2005. He lives and works in Helsinki, Finland.

Recent performances:
Food For Thought, Kvadriennale for samtidskunst, Stege, Sukkerfebrik, DK, 2008 Friktioner, International Performance Festival, Uppsala Art Museum, Uppsala, SE, 2008 When Things Cast No Shadow, 5th Berlin Biennale for Contemporary Art, Dock 11, Berlin, DE, 2008 In the Context of Art: Differences — Interactions, International Festival, Centre for Contemporary Art Ujazdowski Castle, Warsaw, PL, 2008 InterAzione XXI Festival, International Festival of Performance Arts, Video and Installations, Teatro Arka, Assemini, Sardinia, IT, 2008 Digital Media 1.0, Digital Media Festival, La Nau, Carrer University of Valencia, Valencia, ES, 2008
Roi Vaara, Grace Exhibition Space, New York, US, 2008 History Alive/Perform History, Overgaden Institute for Contemporary Art , Copenhagen, DK, 2008 Laughing in a Foreign Language, Hayward Gallery, London, UK, 2008 Snow Balls Sale, Open air markets in Sotkamo, Kajaani and Kuopio, FI, 2008

jeudi 14 août 2008

vidéos de Luiz Henrique Yudo le 19 septembre 2008




vidéos de Luiz Henrique Yudo le 19 septembre 2008
Avec Luiz Henrique Yudo, Gilbert Delor et Thierry Madiot musique en direct

EL CAMINO, for video & ensemble (2005-07) 15', 30' or 50'

EL CAMINO is about the pilgrimage of Santiago de Compostela.
On stage a video is projected on the screen. The musicians, looking at the screen, improvise according to previous instructions on how to 'read' the images and set them into music. The video is actually the 'graphic-score' for the musicians.
The video shows in one single shot a sequence of legs at the main square in Santiago de Compostela. The cathedral will be only revealed at the end of the video when we see the entire square zoomed out and slowly tilting up ending in the clouds of the sky.
The ensemble plays with the direct sound from the square.
The sounds created by the musicians together make a unique combination for each pair of legs shown in the video, as a tangible imprint of individualities.
It is a game of awareness and reaction: observing the real world and making music from it.
There are three possibilities of duration:
15 minutes, 30 minutes and 50 minutes (full version).
All durations come from the same footage but cut from different moments.
The duration can be chosen according to the programming of the festival.

I would suggest to use the 30-minute version if the piece is presented alone.
In case it is combined with 'Counting Windows for TJ' we use the 15-minute version.


COUNTING WINDOWS FOR TOM JOHNSON (1999) video-version with ensemble (2008)
ca. 10'-15'

Sequences of images of windows from Amsterdam houses are shown on the video.
The musicians improvise rhythmic patterns from the windows.
This piece was premièred in 1999 to celebrate Tom Johnson's 60th birthday.

mardi 12 août 2008

erratum Ollivier Coupille


J'ai écrit par erreur que la pièce d'OLLIVIER COUPILLE "Trame"(2008) le 2à septembre était à base de feedbacks. Pas du tout voir le texte de présentation ci dessous:

"Trame"(2008)
La matière sonore provient essentiellement de plusieurs oscillateurs – générateurs de signaux carrés de ma propre conception et fabrication. Les appareils sont interconnectés de manière à obtenir des formes d'ondes complexes qui sont retravaillées à travers plusieurs chaînes de composants. Certains modules sont alimentés par des photopiles et sont donc sensibles aux variations de la lumière (naturelle et artificielle). D'autres matériaux sonores peuvent interagir: des éléments résonants – petites pierres, branches, galets (via capteurs piezo) – et des images sonores préenregistrées – pluie, insectes, feuillages… Les divers circuits interfèrent les uns sur les autres de telle sorte que le comportement du dispositif reste en partie imprévisible.